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Steve Mcqueen 1930-1980
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Steve Mcqueen 1930-1980

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gregh@neuf.fr

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  • Créé le : 24/07/2005 16:17
    Modifié : 21/09/2017 21:04

    Garçon (38 ans)
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    Robert Mulligan est mort vendredi 20 decembre à l'age de 83 ans

    01/01/2009 15:09

    Robert Mulligan est mort  vendredi 20 decembre à l'age de 83 ans


    Surtout connu dans son pays pour To Kill a Mockingbird (Du silence et des ombres), et dans le nôtre pour Un été 42, Robert Mulligan est mort samedi dans sa maison du Connecticut, à 83 ans. On l’a brièvement apprécié en France au début des années 70 - notamment pour l’Autre, très efficace histoire «gothique» tournant autour d’un enfant qui attribue ses exactions à son jumeau mort -, et il laisse peut-être faussement le souvenir d’un cinéma à l’ancienne, jamais tapageur ni facile (sauf pour les dégoulinades de Michel Legrand dans Un été 42), mais un peu suranné. Or, certains de ses films ont beaucoup à offrir à la revoyure.

    Classiques. Originaire du Bronx à l’instar d’Alan Pakula, qui produisit ses premiers films pendant quinze ans, Mulligan est passé comme beaucoup de sa génération par l’expérience du théâtre télévisé, alors florissant à New York. C’est dans les lucarnes de Suspense, de The Philco Television Playhouse, The Dupont Show of the Month, ou du prestigieux Studio One (dont on vient de rééditer les meilleures heures aux Etats-Unis sur un coffret DVD passionnant) que Mulligan s’est fait les dents, condensant les classiques comme Billy Budd ou Tale of Two Cities en une demi-heure, dirigeant Paul Newman sur The Death of Billy the Kid de Gore Vidal trois ans avant la version qu’en donnera Arthur Penn dans le Gaucher. C’est là aussi qu’il travaillera pour la première fois avec ses vedettes futures comme Steve McQueen ou Natalie Wood, et des écrivains comme Vidal ou encore Horton Foote - futur scénariste de son plus grand succès, To Kill a Mockingbird.

    Passé au cinéma, il fait plusieurs comédies avec Tony Curtis et Rock Hudson, mais c’est avec Pakula qu’il fait son travail le plus personnel. Il existe une osmose intrigante entre l’œuvre des deux hommes : on pourrait attribuer le sentiment de paranoïa qui suinte dans Prisonnier de la peur (Anthony Perkins en joueur de base-ball paniqué) ou dans le très beau l’Homme sauvage (Gregory Peck et Eva Marie Saint traqués dans le désert du Nevada par un Apache vengeur, invisible jusqu’à la fin du film) à Pakula, qui fit sa réputation sur des films paranos comme Klute ou A cause d’un assassinat. Mais on peut aussi se demander, au vu des films que le producteur a fait après, si les films de couple dirigés par Mulligan (Une certaine rencontre, le Sillage de la violence) ne provenaient pas plus des intérêts de Pakula sur la question.

    Atmosphères. Même si la plupart de ses films laissent le souvenir d’une modestie confinant à la mollesse, Mulligan n’en a pas moins presque toujours travaillé sur des sujets originaux : Daisy Clover est daté, mais pas plus que le roman de Gavin Lambert sur Hollywood dont il est tiré - et le couple Robert Redford-Natalie Wood garde sa fraîcheur. Escalier interdit supporte favorablement la comparaison aux autres films de «classes difficiles» comme Graine de violence. Sur l’Autre ou sur The Nickel Ride (film fétiche de tout amoureux de la face cachée de Los Angeles) Mulligan sait créer des atmosphères inédites.

    Mais c’est bizarrement sur son seul western que ce cinéaste citadin donne toute sa mesure : The Stalking Moon (l’Homme sauvage) est, comme le font remarquer Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier, une sorte de Prisonnière du désert à l’envers - comme si Natalie Wood était libérée des Apaches au début, et déjà mère d’un Indien --, mais il ne peut être réduit à cela.

    Le mot «insolite» vient à l’esprit, et c’est peut-être ce qui définit le mieux le cinéma de Mulligan qui n’est souvent traditionnel qu’en apparence.

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    steve avait tourné avec lui dans une certaine rencontre et le sillage de la violence

     






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    Bonne Année

    31/12/2008 17:54

    Bonne Année


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    sur le sillage de la violence

    29/12/2008 12:58

    sur le sillage de la violence







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