|
[ LINKS OR LIENS ] [ SONDAGE ]
|
|
|
|
;
22/04/2006 15:25
sur bullitt Les services municipaux de San Francisco n'était pas les seuls à se préoccuper des problèmes de sécurité sur le tournage dans les rues de la ville. Ni les cadres de la Warner Bros pas plus d'ailleurs que Peter Yates, Philip D'Antoni et encore moins le coordinateur des cascades Carey Loftin ne se sentaient très à l'aise à l'idée de voir Steve McQueen au volant de sa Mustang dévaler en vol plané l'une des rues les plus escarpées de san francisco. Les proches du comédien et en particulier sa femme Neile, déjà fort préoccupée par les problèmes de consommation effrénée d'alcool et de cocaïne de son mari, tremblaient à l'idée que le tournage de BULLITT se conclut par un drame. Personne donc parmi l'équipe du film ne tenant à assumer la responsabilité d'un éventuel accident, il fut décidé de façon presque unanime d'avancer l'heure du tournage de la fameuse séquence sans en informer Steve McQueen. Prévue à onze heures du matin, la descente de Taylor Street fut finalement tournée à l'insu du principal intéressé aux premières heures du matin. Lorsque Steve McQueen fit son apparition sur le plateau à l'heure dite, ce fut pour s'apercevoir que la séquence avait déjà été mise en boîte et que, pis encore, c'était son vieil ami Bud Ekins qui avait pris sa place au volant de la Ford Mustang. Si, selon Bud Ekins, Steve McQueen sut faire bonne figure et encaissa ce camouflet avec philosophie, d'autres racontent qu'au contraire il entra dans une fureur noire, blessé et humilié d'avoir été trahi par ses plus proches amis et collaborateurs. Peter Yates qui avait depuis le début du tournage été pressenti pur prendre la succession de John Sturges sur «Day of the Champions», fut finalement écarté du projet et ne retravailla plus jamais avec la star bien que le succès de BULLITT lui ouvrit toutes grandes les portes d'Hollywood. Quant au cascadeur Bud Ekins, il fut désormais également tenu à l'écart des projets de Steve McQueen et, mis à part une fugace apparition sur le plateau de «The Towering Inferno», resta plus de dix ans sans nouvelles de celui qui fut, un temps, son meilleur ami.

,on bullitt the municipal services of San Francisco was not the only ones to be concerned with problems of safety on turning in the streets of the city. Nor the executives of Warner Bros not besides than Peter Yates, Philip D' Antoni and even less the coordinator of the cascades Carey Loftin were not very smelled at ease with the idea to see Steve McQueen at the wheel of its Mustang descending in gliding flight one of the escarpées streets of San Francisco. The close relations of the actor and in particular his wife Neile, already extremely worried by the problems of unrestrained consumption of alcohol and cocaine of her husband, trembled with the idea that the turning of BULLITT is concluded by a drama. Nobody thus among the team of film not making a point of assuming the responsibility for a possible accident, it was decided in an almost unanimous way to advance the hour of the turning of the famous sequence without informing Steve McQueen of it. Envisaged at eleven o'clock in the morning, the descent of Taylor Street was finally turned without the knowledge of principal interested in the first hours of the morning. When Steve McQueen made its appearance on the plate at the appointed time, it was to realize that the sequence had already been put out of box and that, worse still, it was his/her old friend Bud Ekins who had taken his place at the wheel of Ford Mustang. If, according to Bud Ekins, Steve McQueen could make good figure and boxed this snub with philosophy, others tell that on the contrary it entered a black fury, wounded and humiliated to be betrayed by his closer friends and collaborators. Peter Yates who had since the beginning of pure turning had a presentiment of to take the succession of John Sturges on "Day of the Champions", was finally isolated project and worked again never again with the star although the success of BULLITT opened all to him large the doors of Hollywood. As for the stuntman Bud Ekins, it from now on was also kept away of the projects of Steve McQueen and, put aside a fugacious appearance on the plate of "The Towering Inferno", remained more than ten years without news of that which was, a time, his best friend.
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
22/04/2006 10:35
Le manque d'imagination étant manifestement très en vogue ces derniers temps à Hollywood, l'annonce d'un remake de BULLITT n'était désormais plus qu'une question de temps. C'est donc sous la direction de Wolgang Petersen, que Brad Pitt devrait, début 2008, prêter ses traits au détective Frank Bullitt. Les amateurs de belles mécaniques, un peu agacés à l'idée de voir le plus célèbre des macaronis trop cuits de Californie du Sud chausser les étriers de Steve McQueen pourront toujours se consoler en se disant qu'il s'agira peut-être la d'une occasion unique de voir enfin les nouvelles moutures de la Ford Mustang et de la Dodge Charger s'affronter dans les rues de San Francisco…si d'ici là, monsieur CGI ne vient pas mettre son vilain nez là-dedans.
wolgang petersen
The lack of imagination being obviously very in vogue lately in Hollywood, the advertisement of a remake of BULLITT was from now on nothing any more but one question of time. It is thus under the direction of Wolgang Petersen, that Brad Pitt would have, at the beginning of 2008, to lend its features to the detective Frank Bullitt. The amateurs of beautiful mechanics, a little aggravated with the idea to see most famous of macaronis too cooked of California of the South to fit the clamps of Steve McQueen will be able to always comfort themselves by thinking that it will perhaps be a question of a unique opportunity of finally seeing new grindings of Ford Mustang and Dodge Charger to clash in the streets of San Francisco... if by then, Mr CGI does not come to put his unpleasant nose in it.
au nom de la loi
wanted dead or alive
john carradine qui joua dans un épisode de la série intitulé l'otage
John carradine who played in an episode of the series entitled the hostage
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
21/04/2006 12:15
la derniere bagarre
soldier in the rain
critique de presse du film
critical of press of film
(chronique nonchalante de la vie de garnison ce film puise son seul intérêt dans une étude de milieu parfois cruelle dans sa sincérité l'ensemble reste bien ennuyeux ) la cinématographique 1964
(soft chronicle of the garrison life this film draws its only interest in a sometimes cruel study of medium in its sincerity the unit remains quite tedious) the cinematographic 1964
Vraisemblablement due aux incessants remaniements scénaristiques qui émaillèrent le tournage du film bullitt, on peut aisément dénombrer une quantité astronomique d'erreurs de continuité dont la plus flagrante se retrouve lors de la séquence se déroulant à l'hôpital durant laquelle une nuitée d'encre succède en à peine quelques minutes à un clair soleil de fin de matinée. Ces incessantes modifications apportées à la structure scénaristique de BULLITT eurent aussi une incidence sur certains des comédiens du film. Ainsi, Jacqueline Bisset vit l'importance de son personnage se réduire de jour en jour à la manière d'une peau de chagrin la confinant finalement à jouer la plupart du temps les séduisantes potiches (à l'exception toutefois d'une scène). Idem pour le personnage de Robert Duvall, relégué au rang des simples apparitions. Philosophe, Robert Duvall déclara quelque temps plus tard que passer cinq semaines aux frais de la Warner dans un palace de San Francisco en n'ayant rien d'autre à faire que de perfectionner son revers sur les courts de tennis n'était somme toute pas la plus désagréable expérience de sa carrière de comédien.
Probably due to the ceaseless rehandlings scenaristic which enamelled the turning of the film bullitt, one can easily count an astronomical quantity of errors of continuity of which most obvious finds itself at the time of the sequence being held at the lasting hospital which a night of ink succeeds in hardly a few minutes a clear sun of end of morning. These ceaseless modifications made to the scenaristic structure of BULLITT affected also some of the actors of film. Thus, Jacqueline Bisset saw the importance of her character being reduced day in day to the manner of a skin of sorrow finally confining it to play the tempting vases most of the time (except however for a scene). Idem for the character of Robert Duvall, relegated to the row of the simple appearances. Philosopher, Robert Duvall declared some time later than to spend five weeks to the expenses of Warner in a de luxe hotel of San Francisco by not having anything other to make than to improve its reverse on the courts of tennis was altogether not the most unpleasant experiment of its career of actor.
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
21/04/2006 09:34
the reivers
voici quelques critiques de la presse lors de la sortie du film the reivers
here some criticisms of the press at the time of the exit of the film the reivers
(mark rydell révèle un mcqueen complètement décontracté dans un rôle charmant de comédie )joanna campbell the films of steve mcqueen
(mark rydell reveals a mcqueen completely relaxed in a charming role of comedy)joanna campbell the films of steve mcqueen
(steve mcqueen donnant une de ses performances les plus convaincantes aide beaucoup le film )steve h.scheuer,movies on t.v
(steve mcqueen giving one of its most convincing performances helps much the film)steve h.scheuer, movies on t.v
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
20/04/2006 11:09
la canonniere du yang tsé
the sand pebbles
Les scènes de poker du kid de cincinnati devant constituer le point culminant de toutes les tensions du film, Norman Jewison avait apporté une attention toute particulière à leur préparation. Il avait par exemple requis les services de Jay Ose, un ancien flambeur reconverti depuis en spécialiste de la manipulation des cartes. Jay Ose fut chargé d'enseigner les rudiments du poker professionnel à la quasi-totalité du casting et en particulier à Karl Malden et Joan Blondell incarnant respectivement les personnages de Shooter et de Lady Fingers, chargés tous deux d'assurer la distribution des cartes lors des parties. Si Karl Malden se découvrit assez rapidement un talent naturel pour ce genre d'exercice, il n'en fut pas de même, hélas, pour la malchanceuse Joan Blondell. Ce furent donc les mains de Jay Ose, soigneusement manucurées, les ongles polis et vernis, qui furent filmées lors de certains gros plans pour lesquels le manque d'assurance la comédienne aurait été trop flagrant.
The scenes of poker of the Cincinnati kid having to constitute the climax of all the tensions of film, Norman Jewison had given a very detailed attention to their preparation. It for example had required the services of Jay Ose, a former flambor reconverted since of specialist in the handling of the charts. Jay Ose was charged to teach the rudiments of the professional poker to the near total of the casting and in particular in Karl Malden and Joan Blondell respectively incarnant the characters of Shooter and Fingers Lady, charged both to ensure the distribution of the charts at the time of the parts. If Karl Malden were rather quickly discovered a natural talent for this kind of exercise, it was not the same, alas, for malchanceuse Joan Blondell. They were thus the hands of Jay Ose, carefully manucurées, the polished and varnished nails, which were filmed at the time of certain large plans for which the lack of insurance the actress would have been too obvious.
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
20/04/2006 11:00
la proie des vautours
never so few
Bénéficiant d'une mise en scène solide de Peckinpah, JUNIOR BONNER bénéficie d'une lumineuse photographie aux teintes chaudes et ambrées de Lucien Ballard (THE WILD BUNCH) proposant quelques magnifiques panoramas des contrées arides et désertiques des collines de l'Arizona. Mais ce que l'on retiendra surtout, c'est la flamboyance du montage de Robert Wolfe (THE GETAWAY) reconstruisant avec une vigueur peu commune quelques séquences de rodéo. La séquence d'ouverture vaut à elle seule le coup d'œil. Grâce à une heureuse utilisation du procédé « split-screen », nous propose une incursion dans l'univers de Junior Bonner lors d'une compétition. Durant près d'une dizaine de minutes et sans dialogue, toutes les caractéristiques du personnage de Junior Bonner nous sont montrées grâce à cet exercice mettant en valeur la force du langage cinématographique. Enfin, la distribution est solide, bien menée par un Steve McQueen bien en forme et bien servi par le laconisme qui le caractérise si souvent. Lui et Peckinpah travailleront d'ailleurs à nouveau ensemble pour THE GETAWAY, sorti la même année.

Profiting from a setting in solid scene of Peckinpah, JUNIOR BONNER profits from a luminous photography to the hot and ambrées colours of Lucien Ballard (THE WILD BUNCH) proposing some splendid panoramas of the arid and desert regions of the hills of Arizona. But what one will retain especially, it is the flamboyance assembly of Robert Wolfe (THE GETAWAY) rebuilding with a not very common strength some sequences of rodeo. The sequence of opening is worth with it only the glance. Thanks to a happy use of the process "Split-screen", an incursion into the universe of Bonner Junior proposes to us at the time of a competition. During nearly ten minutes and without dialogue, all the characteristics of the character of Bonner Junior are shown to us thanks to this exercise emphasizing the force of the cinematographic language. Lastly, the distribution solid, is well carried out by Steve McQueen in form and been useful well well by the laconism which so often characterizes it. He and Peckinpah will work besides again together for THE GETAWAY, left the same year.
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
19/04/2006 11:27
la canonniere du yang sté
the sand pebbles
Karl Malden sur le kid de cincinnati raconta comment, lors d'une scène plutôt tendue entre le personnage de Shooter qu'il incarnait à l'écran et le Kid, il avait vu, le mot action à peine prononcé par le metteur en scène, Steve McQueen qui arpentait le plateau depuis quelques minutes à la manière d'un fauve en cage, se ruer brutalement sur lui, le plaquer sans ménagements contre un mur et lui débiter son texte, les yeux dans les yeux sans même desserrer les mâchoires. A l'annonce du cut, Steve McQueen le lâcha aussitôt, lui adressa un large sourire et lui assena une petite tape sur l'épaule. Karl Malden racontera plus tard que, lui qui avait pourtant côtoyé des comédiens pas toujours commodes tels que Burt Lancaster, Richard Widmark ou encore Marlon Brando, avait, pour la première fois de sa carrière, ressenti de la peur en croisant le regard de l'un de ses partenaires. C'était incroyablement intense, déclara-t-il, un peu comme si je venais d'empoigner à mains nues un câble à haute tension.

Karl Malden on the Cincinnati kid told how, at the time of a scene rather tended between the character of Shooter which it played the screen and Kid, it had seen, the word action hardly pronounced by the director, Steve McQueen which had surveyed the plate for a few minutes with the manner of a deer out of cage, ruer brutally on him, to plate it without cares against a wall and to output to him its text, the eyes in the eyes without same loosening the jaws. With the advertisement of the cut, Steve McQueen released it at once, addressed a broad smile to him and a small slap struck to him on the shoulder. Karl Malden will tell later than, him which had however côtoyé of the actors not always convenient such as Burt Lancaster, Richard Widmark or Marlon Brando, for the first time of its career, had felt fear by crossing the glance of the one of its partners. It was incredibly intense, declared it, a little as if I came with empoigner to naked hands a cable to high voltage.
| |
|
|
|
|
|
|
|
;
18/04/2006 15:04
Durant toute la durée du tournage de bullitt , Steve McQueen travailla également en étroite collaboration avec le détective William McKenna de la police de San Francisco qui oeuvrait sur le film en tant que conseiller technique, afin de parfaire encore plus si c'était possible sa connaissance des techniques policières. En compagnie de l'acteur Don Gordon, il se perfectionna donc dans l'art d'interpréter une scène de crime et de rechercher des indices. Afin de pleinement profiter de l'expérience de ses deux comédiens et de rendre plus vraisemblable une scène de fouille de bagages, Peter Yates décida de laisser Steve McQueen et Don Gordon seuls face à deux énormes malles pleines de vêtements, ne sachant absolument rien de ce qu'ils étaient censés chercher. Prenant ce défi très au sérieux, les deux acteurs se livrèrent à une fouille exécutée selon les règles de l'art des deux énormes valises et n'eurent aucune difficulté à retrouver les indices que Peter Yates y avait dissimulé.
During all the duration of the turning of bullitt, Steve McQueen also worked in close cooperation with the detective William McKenna of the police force of San Francisco which worked on film as a technical adviser, in order to perfect even more if it were possible its knowledge of the police techniques. In company of the actor Gift Gordon, it thus improved in art to interpret a scene of crime and to seek indices. In order to fully benefit from the experiment of his two actors and to make more probable one scene of excavation of luggage, Peter Yates decided to leave Steve McQueen and Don Gordons alone vis-a-vis two enormous trunks full with clothing, not knowing absolutely anything of what they were supposed to seek. Taking this challenge very with serious, the two actors devoted themselves to an excavation carried out according to code's of practice of the two enormous bags and did not have any difficulty in find the indices that Peter Yates had dissimulated there.

| |
|
|
|
|
|
|
|
une certaine rencontre
18/04/2006 10:09
sur le kid de cincinnnati après quelques semaines de prises de vue, Edward G.Robinson vint se joindre à la distribution pour reprendre le rôle de Lancey Howard, laissé vacant par Spencer Tracy. Les rapports qu'entretinrent immédiatement Steve McQueen et Edward G Robinson hors plateau furent à peu de chose près les mêmes que ceux qui unissaient le Kid et Lancey Howard à l'écran. Un mélange de respect, de curiosité et de volonté d'intimidation réciproque. Fin psychologue, Norman Jewison vit immédiatement tout le parti qu'il pourrait tirer de la confrontation de deux personnalités aussi diamétralement opposées. Entre le rebelle solitaire, en permanence le nez fourré sous le capot d'une grosse cylindrée, les ongles éternellement maculés de cambouis et la légende d'Hollywood raffinée et cultivée qui se targuait de posséder une des plus importantes collections d'œuvres d'arts du pays, de parler quatre langues et de faire autorité en matière d'art culinaire, il n'y avait décidément aucun point commun. Le metteur en scène décida donc d'attiser à loisir l'instinct de compétitivité des deux acteurs afin de rendre leur confrontation à l'écran plus spectaculaire. Tandis que Steve McQueen multipliait à l'envi les petites provocations et les subtiles tentatives d'intimidation, Edward G Robinson affichait une impavidité et une concentration sans faille. Ainsi, à l'occasion de l'une des scènes les plus intense opposant les deux comédiens, on vit Steve McQueen s'emparer d'un citron posé sur un plateau à côté d'une bouteille de gin, le trancher en deux et mordre dedans à pleines dents sans même esquisser l'ombre d'un rictus devant un Edward G. Robinson faisant l'impossible pour demeurer impassible. En dépit de ces bravades, Steve McQueen éprouvait toutefois énormément de respect pour le professionnalisme sans faille et la perpétuelle disponibilité de son partenaire de jeu. De son coté, Edward G.Robinson ne manqua jamais par la suite une occasion de louer le talent et le charisme de Steve McQueen, allant même jusqu'à déclarer : «Il s'impose naturellement comme le digne successeur de Bogart, de Cagney ou même de moi».
on the Cincinnati kid after a few weeks of catches of sight, Edward G.Robinson came to join the distribution to take again the role of Lancey Howard, left vacant by Spencer Tracy. The reports/ratios which Steve McQueen and Edward G Robinson except plate maintained immediately were with little thing close the same ones as those which linked Kid and Lancey Howard with the screen. A mixture of respect, curiosity and reciprocal will of intimidation. Fine psychologist, Norman Jewison saw all the party immediately that it could draw from the confrontation of two personalities also diametrically opposite. Between the solitary rebel, permanently the nose lined under the cap of a big-engined car, the eternally mackled dirty oil nails and the legend of Hollywood refined and cultivated which was prided to have one of the most significant collections of making and speaking, works of art of the country four languages authority as regards art of cooking, it had no common point definitely there. The director thus decided to poke with leisure the instinct of competitiveness of the two actors in order to return their confrontation to the more spectacular screen. While Steve McQueen multiplied with the envi the small provocations and the subtle attempts at intimidation, Edward G Robinson posted a impavidity and a concentration without fault. Thus, at the time of one of the scenes most intense opposing the two actors, one saw Steve McQueen seizing a lemon posed on a plate beside a bottle of gin, to slice it into two and to bite inside with full teeth without same outlining the shade of a grin in front of Edward G Robinson making the impossible one to remain impassive. In spite of these bravados, Steve McQueen enormously tested however respect for professionalism without fault and the perpetual availability of its partner of play. Of dimensioned sound, Edward G.Robinson never missed thereafter an occasion to rent the talent and the charisma of Steve McQueen, going even until declaring: "It is essential naturally like the worthy successor of Bogart, Cagney or even of me".
| |
|
|
|
|
|
|
|
papillon
17/04/2006 15:18
Franklin Schaffner, qui venait de terminer PAPILLON se lança dans le film l'ile aux adieux ceux qui avaient aquit les droits pensaient donner le rôle principal à George C. Scott, avec lequel Schaffner avait tourné PATTON. Mais Paramount lui préféra Steve McQueen - la vedette de PAPILLON, qui accepta puis inexplicablement refusa - et Paul Newman, qui suggéra de prendre plutôt George C. Scott. Celui-ci n'étant pas libre, on proposa le rôle à John Wayne, qui n'aima pas le script. Finalement, on revint vers George C. Scott qui, bien que décidé à prendre sa retraite après l'échec de THE SAVAGE IS LOOSE, dont il était le producteur, le réalisateur et le principal acteur, accepta à la lecture du scénario.
Franklin Schaffner, which had just finished papillon launched out in the film islands in the stream those which had aquit the rights thought of giving the principal role to George C Scott, with which Schaffner had turned PATTON. But Paramount to him preferred Steve McQueen - the high-speed motorboat of papillon, which accepted then inexplicably refused - and Paul Newman, who suggested taking George C Scott rather. This one not being free, one proposed the role with John Wayne, who did not like script. Finally, one returned towards George C Scott which, although decided to take its retirement after the failure of THE SAVAGE IS LOOSE, of which he was the producer, the realizer and the principal actor, accepted with the reading of the scenario.
| |
|
|
|
|